Voici mon témoignage concernant mon harcèlement :
Mon témoignage étant un peu long je me suis permis de le copié depuis la page du harcèlement ou j'ai témoigné dernièrement :
Bonjour, je m'appelle Stanislas, j'ai 18 ans et j'ai moi même été victime d'harcèlement scolaire. Cependant, celui-ci à détruit pour l'instant toute ma vie et j'aimerai vous raconter mon histoire.
Tout a vraiment commencé au collège. En faite, il faut savoir que j'ai toujours eu d'énorme problèmes familiaux. Mon père s'est marié avec une femme manipulatrice qui me maltraitait étant jeune et elle n'hésitait pas à le faire devant mes grands parents ou les amis de mon père. Cependant, mon père n'a jamais rien voulu entendre et s'est
mis tout le monde à dos uniquement pour rester avec elle. A l'âge de 12 ans j'ai décidé de partir car je ne supportais plus ce qu'elle me faisait endurer. Mon père a signé un papier se délaissant de ma garde et depuis nous sommes en froid et nos relations sont extrêmement mauvaise.
A partir de se moment la, j'ai perdu entièrement confiance en moi et j'ai commencé à jongler de psychologue à psychiatre. J'ai commencé à devenir ce que les gens appellent un "Geek" des jeux vidéos. J'étais devenu quelqu'un de faible et l'école ou j'étais (une école privée indépendante) à commencer à prendre les racailles des
banlieues qui étaient virées de toutes les autres écoles à cause de leurs comportements inadmissibles.
J'étais quelqu'un qui bossait un minimum, mais qui était dans les premiers de la classe. J'ai commencé alors a être victime de moqueries de la part de mes collègues de classes. Des choses du genre "Alors comment ça va autiste ?" ou "T'as pas d'amis, tu veux du pain ?". Au début, ce genre de choses me blessaient peu. J'ignorais ce
qu'ils disaient même si c'était dur. Mais à force de les ignorer ça a empiré. Un jour, j'étais sur le banc et je révisais une de mes leçons pour un contrôle et 2 mecs jouaient au foot à coté (Il faut savoir que j'étais dans un collège non mixte, il n'y avait que des garçons). L'un tire et l'autre l'arrête, puis le ballon arrive à mes pieds. Les 2 personnes (qui étaient dans ma classe) me demandent le ballon. Qu'est ce que je fais ? Je le passe au premier qui me demande ! Sauf que l'autre est arrivé en courant et ma filé un énorme coup de pieds dans le talon. J'ai porté un plâtre pendant 2 mois à cause de cela. Il faut aussi savoir que ma mère n'a jamais pris au sérieux le fait que je sois harcelé à l'école. J'ai marché 2 semaines sur mon talon avant qu'elle se rende compte qu'il y avait un problème !
Enfin bref, le collège n'est pas la partie la plus importante de ma décadence. Toute mes véritables problèmes ont commencé au lycée :
Je suis tout d'abord allé dans un lycée privée je préfère taire le nom des écoles pour éviter tous problèmes).
Je suis arrivé dans une classe Seconde général. Au départ, tout ce passé plus ou moins bien mais ça a très vite dégénéré. Comme je l'ai dis plus haut, je suis quelqu'un
de très coincé et je joue beaucoup aux jeux vidéos. Et le gens s'en sont rendu compte et j'ai commencé à être sujet aux moqueries par les autres élèves. Au bout d'un moment je n'en pouvais plus et j'ai tenté de mettre fin à mes jours en avalant une poignée de médicament (Lexomil). Je les avais pris le matin vers 4h30/5h et je pensais qu'ils feraient effet avant de partir de la maison. Sauf que rien ne s'est passé et ma mère m'a envoyé en cours normalement. Sauf qu'a 9h en plein cour de sport, les médicaments ont commencé à faire effet et je me suis retrouvé en train d'halluciner et de faire un malaise devant absolument toute ma classe. Les secours sont venus
et m'ont emmené à l'hôpital médico-psychologique pour adolescent ou j'y ai passé quelques semaines.
Sauf qu'a mon retour en cour c'était l'HORREUR. J'ai commencé à être victime d'harcèlement sur les réseaux sociaux telles que Facebook ou des photos de moi du cours de sport avec des remarques telles que "regardez, l'autiste fait une crise" ou des statues sur mon mur du genre " t'es pas mort, c'est dommage". J'ai du me désinscrire
de tous les réseaux sociaux car ils ne s'arrêtaient pas. A mon retour en classe, j'étais sujet à encore plus de moqueries et les gens ont commencé à m'humilier devant tout le monde. Je n'osais plus allé en cour et quand j'ai su que je devais continuer ma première avec eux j'ai demandé à redoublé pour éviter de subir plus...
Mais ma deuxième seconde était exactement la même que la première. J'étais toujours seul dans mon coin sans avoir d'amis. Les gens se moquaient de moi parce que j'étais faible et que je ne me défendais jamais... J'ai tenté 1 tentative de suicides de plus qui s'est elle aussi soldé par un échec et qui m'a emmené quelques jours de plus à la clinique médico-psychologique pour adolescent. Au bout de quelque mois, j'ai décidé de changer de lycée et de partir dans un public en section STL (Science technique de laboratoire). Je voulais faire médecine, et cette école était la seule qui proposait cette section très bien adapté au métier que je voulais faire.
Avant de poursuivre, je souhaite préciser 2 ou 3 choses. L'école ou je suis allé, était une école de banlieue, avec 90% de racailles.
Lorsque je suis arrivé la bas, ça a direct été le bordel ! Venant d'une école privée les gens ont commencé à me prendre pour un bourgeois alors que je n'ai pas du tout d'argent. J'ai commencé directement à me faire racketer par les autres élèves à la sortie du lycée. J'étais sujet au bizutage, on me poussais dans les escaliers, les élèves m'écrasaient leurs cigarettes sur le bras j'en ai encore des marques...
Sauf qu'un jour, à force de subir tout ça j'ai craqué et j'en ai frappé un. Cela a été la chose la plus idiote que j'ai pu faire... Cette personne a commencé à me regarder de travers et j'ai commencé à me faire tabasser tous les soirs dans la ruelle qui longeait mon lycée. J'avais beau en parler à ma mère, mais elle ne m'écoutait pas. Le CPE ou le proviseur c'était quelque chose du genre "on s'en occupe" mais ils n'ont jamais rien fait. Et je n'ai jamais osé porté plainte auprès de la police de peur de ce qu'il pouvait se passer ensuite... Cela a duré 1 mois avant que je disjoncte et que je pète un câble chez moi. Ma mère a du m'hospitaliser à un hôpital adapté (les sophoras) ou j'y ai passé 3 semaines, gavé d'anti-dépresseur. PERSONNE n'a pris de mes nouvelles dans la classe !
Une fois sortie, je devais retourner au lycée mais j'ai recommencé à me faire tabasser. Au bout d'un moment je n'y allais plus, je séchais et j'ai du supplié ma mère de vouloir m'enlever car je ne pouvais plus endurer ce qu'ils me faisaient.
Voyant que toutes les écoles ou j'allais m'attiraient des problèmes, j'ai essayé de prendre des cours à domicile. Mais pour cela, le directeur devait faire un papier au CNED. Mais celui-ci à pris du retard et j'ai reçu mes cours avec trop de retard pour pouvoir rattraper et à 200€ l'année. Je n'ai pas les moyens de continuer...
Aujourd'hui je n'ai absolument plus rien. Je n'ai AUCUN ami, aucun diplôme (sauf le brevet) et aucun avenir. Je n'ai simplement que mes jeux vidéos pour me consoler de la vie minable que je mène à cause des gens qui m'ont détruit. Je n'ai plus aucune motivation, je voulais faire médecine et je me retrouve à devoir choisir une formation qui ne me plait pas... A cause de ce que j'ai vécu j'ai aujourd'hui peur de tout... Je n'ose plus sortir de chez moi, j'ai peur des gens et de ce qu'ils peuvent penser. Je n'ai aucun ami pour m'aider ou me consoler et je ne sais pas si les gens se rendent compte à quel point c'est dur de n'avoir rien n'y personne de confiance avec qui passer du bon temps ou se confier.
Je ne garde pas que les traces mentales de ce que j'avance, mais aussi des traces physiques. J'ai des beaucoup de cicatrices par rapport à ce que j'ai vécu et physiquement c'est moche...
Et autre chose, il faut que les parents arrêtent d'envoyer leurs enfants chez des psychologues ou des psychiatres. Ca fait 10 ans que j'en vois un et ça ne m'a jamais aidé. Les psychologues se contentent de vous écouter en vous disant "ok" à chaque fin de phrases et en vous demandant votre chèque à la fin de la séance. Ils ne font
rien d'autre et n'arrangeront jamais vos problèmes. Seul les parents et les amis le peuvent. Si vos enfants disent qu'ils ont des problèmes. Ecoutez le, avant qu'ils deviennent comme moi. Une personne détruite psychologiquement, seul, avec aucun avenir.
Je m'excuse pour les fautes d'orthographes, je ne suis pas un monstre dans se domaine.
Mon témoignage étant un peu long je me suis permis de le copié depuis la page du harcèlement ou j'ai témoigné dernièrement :
Bonjour, je m'appelle Stanislas, j'ai 18 ans et j'ai moi même été victime d'harcèlement scolaire. Cependant, celui-ci à détruit pour l'instant toute ma vie et j'aimerai vous raconter mon histoire.
Tout a vraiment commencé au collège. En faite, il faut savoir que j'ai toujours eu d'énorme problèmes familiaux. Mon père s'est marié avec une femme manipulatrice qui me maltraitait étant jeune et elle n'hésitait pas à le faire devant mes grands parents ou les amis de mon père. Cependant, mon père n'a jamais rien voulu entendre et s'est
mis tout le monde à dos uniquement pour rester avec elle. A l'âge de 12 ans j'ai décidé de partir car je ne supportais plus ce qu'elle me faisait endurer. Mon père a signé un papier se délaissant de ma garde et depuis nous sommes en froid et nos relations sont extrêmement mauvaise.
A partir de se moment la, j'ai perdu entièrement confiance en moi et j'ai commencé à jongler de psychologue à psychiatre. J'ai commencé à devenir ce que les gens appellent un "Geek" des jeux vidéos. J'étais devenu quelqu'un de faible et l'école ou j'étais (une école privée indépendante) à commencer à prendre les racailles des
banlieues qui étaient virées de toutes les autres écoles à cause de leurs comportements inadmissibles.
J'étais quelqu'un qui bossait un minimum, mais qui était dans les premiers de la classe. J'ai commencé alors a être victime de moqueries de la part de mes collègues de classes. Des choses du genre "Alors comment ça va autiste ?" ou "T'as pas d'amis, tu veux du pain ?". Au début, ce genre de choses me blessaient peu. J'ignorais ce
qu'ils disaient même si c'était dur. Mais à force de les ignorer ça a empiré. Un jour, j'étais sur le banc et je révisais une de mes leçons pour un contrôle et 2 mecs jouaient au foot à coté (Il faut savoir que j'étais dans un collège non mixte, il n'y avait que des garçons). L'un tire et l'autre l'arrête, puis le ballon arrive à mes pieds. Les 2 personnes (qui étaient dans ma classe) me demandent le ballon. Qu'est ce que je fais ? Je le passe au premier qui me demande ! Sauf que l'autre est arrivé en courant et ma filé un énorme coup de pieds dans le talon. J'ai porté un plâtre pendant 2 mois à cause de cela. Il faut aussi savoir que ma mère n'a jamais pris au sérieux le fait que je sois harcelé à l'école. J'ai marché 2 semaines sur mon talon avant qu'elle se rende compte qu'il y avait un problème !
Enfin bref, le collège n'est pas la partie la plus importante de ma décadence. Toute mes véritables problèmes ont commencé au lycée :
Je suis tout d'abord allé dans un lycée privée je préfère taire le nom des écoles pour éviter tous problèmes).
Je suis arrivé dans une classe Seconde général. Au départ, tout ce passé plus ou moins bien mais ça a très vite dégénéré. Comme je l'ai dis plus haut, je suis quelqu'un
de très coincé et je joue beaucoup aux jeux vidéos. Et le gens s'en sont rendu compte et j'ai commencé à être sujet aux moqueries par les autres élèves. Au bout d'un moment je n'en pouvais plus et j'ai tenté de mettre fin à mes jours en avalant une poignée de médicament (Lexomil). Je les avais pris le matin vers 4h30/5h et je pensais qu'ils feraient effet avant de partir de la maison. Sauf que rien ne s'est passé et ma mère m'a envoyé en cours normalement. Sauf qu'a 9h en plein cour de sport, les médicaments ont commencé à faire effet et je me suis retrouvé en train d'halluciner et de faire un malaise devant absolument toute ma classe. Les secours sont venus
et m'ont emmené à l'hôpital médico-psychologique pour adolescent ou j'y ai passé quelques semaines.
Sauf qu'a mon retour en cour c'était l'HORREUR. J'ai commencé à être victime d'harcèlement sur les réseaux sociaux telles que Facebook ou des photos de moi du cours de sport avec des remarques telles que "regardez, l'autiste fait une crise" ou des statues sur mon mur du genre " t'es pas mort, c'est dommage". J'ai du me désinscrire
de tous les réseaux sociaux car ils ne s'arrêtaient pas. A mon retour en classe, j'étais sujet à encore plus de moqueries et les gens ont commencé à m'humilier devant tout le monde. Je n'osais plus allé en cour et quand j'ai su que je devais continuer ma première avec eux j'ai demandé à redoublé pour éviter de subir plus...
Mais ma deuxième seconde était exactement la même que la première. J'étais toujours seul dans mon coin sans avoir d'amis. Les gens se moquaient de moi parce que j'étais faible et que je ne me défendais jamais... J'ai tenté 1 tentative de suicides de plus qui s'est elle aussi soldé par un échec et qui m'a emmené quelques jours de plus à la clinique médico-psychologique pour adolescent. Au bout de quelque mois, j'ai décidé de changer de lycée et de partir dans un public en section STL (Science technique de laboratoire). Je voulais faire médecine, et cette école était la seule qui proposait cette section très bien adapté au métier que je voulais faire.
Avant de poursuivre, je souhaite préciser 2 ou 3 choses. L'école ou je suis allé, était une école de banlieue, avec 90% de racailles.
Lorsque je suis arrivé la bas, ça a direct été le bordel ! Venant d'une école privée les gens ont commencé à me prendre pour un bourgeois alors que je n'ai pas du tout d'argent. J'ai commencé directement à me faire racketer par les autres élèves à la sortie du lycée. J'étais sujet au bizutage, on me poussais dans les escaliers, les élèves m'écrasaient leurs cigarettes sur le bras j'en ai encore des marques...
Sauf qu'un jour, à force de subir tout ça j'ai craqué et j'en ai frappé un. Cela a été la chose la plus idiote que j'ai pu faire... Cette personne a commencé à me regarder de travers et j'ai commencé à me faire tabasser tous les soirs dans la ruelle qui longeait mon lycée. J'avais beau en parler à ma mère, mais elle ne m'écoutait pas. Le CPE ou le proviseur c'était quelque chose du genre "on s'en occupe" mais ils n'ont jamais rien fait. Et je n'ai jamais osé porté plainte auprès de la police de peur de ce qu'il pouvait se passer ensuite... Cela a duré 1 mois avant que je disjoncte et que je pète un câble chez moi. Ma mère a du m'hospitaliser à un hôpital adapté (les sophoras) ou j'y ai passé 3 semaines, gavé d'anti-dépresseur. PERSONNE n'a pris de mes nouvelles dans la classe !
Une fois sortie, je devais retourner au lycée mais j'ai recommencé à me faire tabasser. Au bout d'un moment je n'y allais plus, je séchais et j'ai du supplié ma mère de vouloir m'enlever car je ne pouvais plus endurer ce qu'ils me faisaient.
Voyant que toutes les écoles ou j'allais m'attiraient des problèmes, j'ai essayé de prendre des cours à domicile. Mais pour cela, le directeur devait faire un papier au CNED. Mais celui-ci à pris du retard et j'ai reçu mes cours avec trop de retard pour pouvoir rattraper et à 200€ l'année. Je n'ai pas les moyens de continuer...
Aujourd'hui je n'ai absolument plus rien. Je n'ai AUCUN ami, aucun diplôme (sauf le brevet) et aucun avenir. Je n'ai simplement que mes jeux vidéos pour me consoler de la vie minable que je mène à cause des gens qui m'ont détruit. Je n'ai plus aucune motivation, je voulais faire médecine et je me retrouve à devoir choisir une formation qui ne me plait pas... A cause de ce que j'ai vécu j'ai aujourd'hui peur de tout... Je n'ose plus sortir de chez moi, j'ai peur des gens et de ce qu'ils peuvent penser. Je n'ai aucun ami pour m'aider ou me consoler et je ne sais pas si les gens se rendent compte à quel point c'est dur de n'avoir rien n'y personne de confiance avec qui passer du bon temps ou se confier.
Je ne garde pas que les traces mentales de ce que j'avance, mais aussi des traces physiques. J'ai des beaucoup de cicatrices par rapport à ce que j'ai vécu et physiquement c'est moche...
Et autre chose, il faut que les parents arrêtent d'envoyer leurs enfants chez des psychologues ou des psychiatres. Ca fait 10 ans que j'en vois un et ça ne m'a jamais aidé. Les psychologues se contentent de vous écouter en vous disant "ok" à chaque fin de phrases et en vous demandant votre chèque à la fin de la séance. Ils ne font
rien d'autre et n'arrangeront jamais vos problèmes. Seul les parents et les amis le peuvent. Si vos enfants disent qu'ils ont des problèmes. Ecoutez le, avant qu'ils deviennent comme moi. Une personne détruite psychologiquement, seul, avec aucun avenir.
Je m'excuse pour les fautes d'orthographes, je ne suis pas un monstre dans se domaine.